Un livre à lire à la rentrée....

Bonne Année, bonne santé, soyez aux aguets

L'acharnement continue !

Et oui, pour les quelques mois qu'il lui reste à faire, l'inspecteur académique, Monsieur Guiot, n'a pas trouvé mieux que de suspendre l'avancement de Bastien Cazals ainsi qu'à 5 autres instituteurs ....! Au fait, pour quelles fautes professionnelles commises ????

une vidéo à regarder........

Une vidéo faite fin août, à Montpellier, par un vidéaste amateur parisien, en vacances dans la région, rencontré par hasard le soir du pique-nique au Peyrou...

C'est une très bonne source d'infos sur BE !

à vos nouveaux agendas !

Mardi 20 octobre à 20h30 Quelle école pour demain?

Une soirée organisée à la médiathèque Jules Verne de Saint Jean de Védas à l'occasion de la sortie du livre de Bastien Cazals.
La question est complexe et cette soirée n'a pas la prétention de trancher, mais juste de proposer un débat sur un sujet qui nous concerne tous.
PENSEZ A VOUS INSCRIRE !

france culture le 3 septembre

Confrontation d'arguments entre Bastien Cazals et l'Inspecteur Académique.......
Ne baissons pas les bras !

notre directeur de l'école maternelle Louise Michel n'est plus....

Et voilà, pour avoir défendu une école républicaine comme on l'aime, notre directeur de l'école maternelle Louise Michel se voit retirer sa fonction de direction!!!
Il garde néanmoins son poste de professeur des écoles.

Bonne rentrée à tous nos enfants et enseignants.

midi libre le 28 août

Hérault du jour le 28 août

attention, ne baissons pas nos bras tous bronzés !

Le 27 août doit se dérouler une CAPD (Commission Administrative Paritaire Départementale) qui réunit les représentants du personnel enseignant du premier degré et les représentant de l'administration.

La CAPD est convoquée et présidée par l'inspecteur d'académie ou son représentant. Lors de cette CAPD sera annoncé par l'IA le "retrait d'emploi de direction" pour Isabelle Huchard et Bastien Cazals. Cette sanction est la conséquence de leur refus d'utiliser, en tant que directrice et directeur, le logiciel de fichage centralisé des élèves "base élèves".

Pas mal de monde a décidé de faire un rassemblement devant l'IA à l'occasion de cette CAPD. Des collègues et des parents de toute la France, membres du CNRBE (Collectif National de Résistance à Base Elèves) seront aussi présent le 27 pour un rassemblement de protestation devant l'IA de l'Hérault.
Consultez le blog pour avoir plus de précisions concernant l'heure du RDV.

Venez en nombre soutenir Bastien et Isabelle ce jour là devant l'Inspection Académique.

midi libre le 3 juillet

Notre directeur de l'école maternelle a vraiment besoin de soutien. Venez nombreux devant l'inspection académique lundi 6 juillet à 10 h où il est convoqué pour consulter son dossier administratif. De lourdes sanctions risquent de suivre....

chers parents............

Le 25 novembre 2008, dans une lettre ouverte au président de la République, j'ai tenté d'alerter l'ensemble de mes concitoyens sur le désastre républicain qui menace l'école publique et laïque, en leur faisant part de mes inquiétudes de parent d'élève et de citoyen, d'enseignant et de directeur.

Mon seul et unique souhait était alors de provoquer une prise de conscience généralisée de l'urgence de la situation, dans l'espoir de l'ouverture d'un grand débat public sur l'avenir du système éducatif français.

Pourtant, pour avoir voulu défendre ouvertement l'égalité des chances, je subis sournoisement l'inégalité de traitement ! Pour m'être ouvertement opposé à l'aide personnalisée et au fichage des enfants, me voilà inscrit dans le fichier des enseignants à faire taire par tous les moyens et soumis à un véritable acharnement individualisé.

En effet, après plus d'une douzaine de visites hiérarchiques, des sanctions financières (36 jours de retraits de salaire, soient 2100€), l'interdiction formelle de communiquer à la presse , j'ai appris hier qu'une procédure disciplinaire et le retrait de mes fonctions de directeur d'école allaient suivre !

De quelle faute inacceptable suis-je donc coupable ?
Ai-je porté préjudice aux enfants dont j'avais la charge cette année ? Ai-je tenu des propos outranciers ou insultants ? N'ai-je pas fait l'intégralité de mes heures de service ? Ou alors mon seul tort serait-il d'avoir écrit au président de la République ? D'avoir dit haut et fort ce que d'innombrables collègues pensent tout bas ? D'avoir voulu défendre l'école publique et laïque au service de tous les enfants ?

Ma situation personnelle illustre la violence avec laquelle l'administration répond à la demande de dialogue et témoigne de la crainte que ce mouvement de désobéissance civile, inédit dans l'Education Nationale, ne se structure autour des trois collectifs qui n'ont cessé, tout au long de l'année, de lutter pour la défense de l'école :
– le Mouvement des Enseignants du primaire en Résistance Pédagogique,
– le Collectif National de Résistance à Base Elèves
– le collectif national de parents et d'enseignants Ecole en Danger

Ma situation personnelle n'a d'intérêt que parce qu'elle s'inscrit dans l'action de ces collectifs mais n'est rien comparée aux menaces qui pèsent sur notre école.
Et s'il est important que les citoyens, respectueux des droits et libertés dans notre démocratie, refusent l'autoritarisme aberrant dont quelques enseignants sont victimes, c'est qu'au travers d'eux, c'est l'intérêt de l'enfant qui est attaqué !
Je crains de ne plus être dans cette école à la rentrée prochaine. C'est pourquoi je profite de ce dernier jour de l'année scolaire pour vous remercier de votre soutien et vous exprimer tout le plaisir que j'ai eu à travailler ici, dans une jolie école maternelle, au sein d'une excellente équipe enseignante, assisté par un formidable personnel municipal, à tout faire pour prendre en charge vos enfants dans les meilleures conditions possibles.

Avant de vous quitter, je tenais à rappeler que j'ai choisi ce métier par vocation et que je l'ai toujours exercé avec passion ; sachez que je continuerai à le défendre avec conviction, dans le seul intérêt de nos enfants !

Bastien Cazals, le 2 juillet 2009

Atteinte à la liberté d'expression des enseignants !

Après les convocations en commission disciplinaire d'Erwan Redon et Alain Refalo,
prévues les 7 et 9 juillet, c'est maintenant la liberté d'expression qui est bafouée :
Bastien Cazals, enseignant du primaire en résistance déjà sanctionné de 36 jours de
retraits sur salaire, a reçu un courrier de l'Inspecteur d'Académie de l'Hérault, daté du 23 juin, lui intimant l'ordre de ne plus communiquer avec aucun media pour tout
sujet ayant rapport avec ses fonctions.

Après des sanctions financières aussi arbitraires que disproportionnées et de
nombreuses tentatives médiatiques de discrédit, l'administration n'hésite donc pas
à bâillonner purement et simplement - de surcroît pour une durée illimitée ! - les
citoyens qui le dérangent en n'adoptant pas la pensée unique.

Pourtant, l'article 6 de la loi du 13 juillet 1983 affirme que "la liberté d'opinion est
garantie aux fonctionnaires" et, dans sa tribune publiée dans Le Monde du 1er février
2008, Anicet Le Pors, ancien ministre de la Fonction Publique ayant conduit
l’élaboration du statut général des fonctionnaires entre 1981 et 1984, affirme que le
statut des agents publics "ne leur impose pas d’obligation de réserve".
De plus, selon l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de
1789 – qui vaut pour les fonctionnaires comme pour tout citoyen, "nul ne doit être
inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne
trouble pas l’ordre public établi par la loi".

C'est donc là un nouveau pas, très alarmant, vers le rétrécissement des libertés
individuelles !

Le recours au Tribunal Administratif de Montpellier engagé par Bastien Cazals contre
les décisions de retraits de salaire, et pour lequel une audience est prévue le 6 juillet à
15h, n'est probablement pas étranger à cette nouvelle démonstration
d'autoritarisme scandaleux, autoritarisme dont le développement inquiétant est
décrit avec précision dans un récent texte de Pierre Frackowiak, Inspecteur honoraire
de l'Education nationale.
Avant le dernier conseil de l'école maternelle Louise Michel du 16 juin prochain, venez signer la lettre de soutien à Bastien Cazals. (Il travaille bénévolement depuis plus d'un mois !!!). Cette lettre sera ensuite envoyée à l'administration avec le rapport du conseil d'école.

licenciement d'un instituteur !

Concernant le licenciement programmé d'Erwan de Marseille, prof d'école désobéisseur, un comité de soutien s'est constitué.
à consulter d'urgence

http://soutienerwanredon.org

scandale à Louise Michel !

Bastien Cazals, directeur de l’école Louise Michel de Saint Jean de Védas, a eu la visite de son inspectrice le mardi 19 mai. Celle-ci était chargée d’une lettre de l’Inspecteur de l’Académie lui annonçant qu’il procèderait au retrait de 24 jours supplémentaires de salaire, (qui s’ajoutent aux 12 jours retirés en décembre), sans préciser à quoi cela correspondait.

Autant dire que Bastien Cazals vient actuellement à l’école pour travailler bénévolement !

Nous sommes tous plus que satisfaits du travail accompli par toute l’équipe de cette école, dans laquelle nos enfants s’épanouissent réellement et apprennent beaucoup. Cette équipe, qui est très loin de compter ses heures pour mener à bien sa mission, a trouvé une dynamique grâce à tout le travail de Bastien Cazals. En continuant à s’acharner sur lui, l’Inspecteur de l’Académie s’acharne indirectement sur toute l’équipe et donc sur nos enfants.

Nous ne voyons aucune raison à cette sanction injuste qui nous semble relever désormais d’une dérive inacceptable de la part de l’administration.

Il est vrai que Bastien Cazals dérange de plus en plus. Il défend une idée de la République qui est la même pour nous tous, il est soutenu par des personnalités reconnues par tous, et son livre qui vient de sortir en librairie devrait rassembler autour de lui encore plus de monde. Que nous lui donnions, pour chacun d’entre nous, raison ou tort d’avoir choisi la voie de la désobéissance à certaines réformes, voie que trois mille autres instituteurs de France ont empruntée avec lui, nous ne pouvons pas rester indifférents devant ce qu’il subit : une injustice flagrante et un acharnement ridicule qui montrent des méthodes indignes d’une démocratie.

Nous ne pouvons imaginer qu’un instituteur, non seulement consciencieux mais dévoué à son travail et à ses élèves, ne touche plus son salaire. Au-delà de la colère qui peut nous habiter, nous ne pouvons que compatir à sa situation personnelle qui doit être difficile.

Il est temps de réagir afin de garder notre école maternelle comme nous l’aimons.
Exprimons notre solidarité en lui apportant tout notre soutien moral et financier, en attendant que le tribunal administratif lui donne raison.
Merci pour lui, pour notre école, pour nos enfants.

Les parents d’élèves de l’école Louise Michel
N'oubliez pas de signer pour l'inscription d'une charte pour les services publics dans la constitution.....
allez dans "signez"

porter plainte contre base élève



• Base élèves et la Base nationale des identifiants des Elèves sont mis en place à marche forcée par le Ministère de l’Education Nationale, sans information aux parents et sans leur consentement, et sont imposés aux équipes enseignantes et aux directeurs d’école sous la menace et les pressions (harcèlement, présence policière lors de formations de directeurs, sanctionsfinancières)

• il n’est pas nécessaire à la gestion des écoles,


• il ne respecte pas l’autorité parentale,
• il ne respecte pas l’intimité donc la liberté des individus fichés,
• il est mis en place sans concertation publique ni débat politique,
• il peut être utilisé pour traquer des familles sans-papiers,
• il contrevient à différents textes de loi supranationaux dont la France est signataire,
• tout fichier est évolutif (la base de données SCONET actuellement utilisée au collège, contient maintenant tous les champs litigieux qui étaient contenus au départ dans BE : nationalité, notes, absences, etc.)

Les données personnelles nominatives ne doivent pas sortir de l’école et l’immatriculation des enfants, dangereuse pour les libertés, doit être supprimée.

Alors portons plainte en vous connectant au site :
http://chrbe.free.fr/site/index.php?lng=fr

Il suffit de remplir un formulaire
de demander un certificat de scolarité au directeur de l'école
et photocopier le livret de famille


les plaintes des parents de Saint Jean de Védas et communes environnantes devront être déposées ou envoyées, avant le 27 mai, à l'adresse suivante, :


Représentants des parents d'élèves

Ecole maternelle Louise ichel

14, rue Egabanac

34430 St Jean de Védas



Mail d'une amie, auxilliaire puéricultrice dans une crèche de Montpellier

Merci de l'info. Je vous soutiens fermement dans cette démarche. Garder les enfants à la crèche après 3 ans est une aberration. Je ne dis pas après 2 ans, car la crèche a toujours accepté les enfants jusqu'à 3 ans.
Cette réponse de la Mairie ne nous étonne pas car nous entendons parler de cette fausse solution de garde pour les enfants jusqu'à 4 ans depuis 2005.
A la crèche, le mot d'ordre depuis l'an dernier est d'accepter les enfants jusqu'à 4 ans. C'est une obligation.
Nous nous sommes en général sortis d'affaire grâce au nombre d'enfants de moins de 2 ans qui s'inscrivent nombreux!

Je dis fausse solution car la crèche n'a pas de vrais moyens de garder ces grands enfants.
Déjà physiquement : ils ne peuvent pas être mis avec les petits copains de 2ans à 2 ans et demi (comme le critère de classement de section des grands à la crèche). Au niveau de la taille, les enfants de plus 3 ans sont des "géants" pour leurs camarades de moins de 3 ans. Et en plus, puisque ces grands enfants s'ennuient à la crèche, et bien ils sont en position de dominants face aux plus petits, ce qui représente un obstacle (pour les plus petits qu'eux) pour se sentir bien en sécurité. Ces "géants" ont souvent tendance à monopoliser les jouets mis à la disposition de tous les enfants. Ces grands "perturbent" la quiétude des tout petits.
Très difficile aussi la gestion au quotidien d'ateliers, d'activités d'éveil et de répartitions du groupe dans la journée, de sieste manquante (ils ne dorment plus!). Donc fini le temps calme pour les autres petits de la crèche (qui en ont besoin). Tout cela par conséquent, représente plus de travail pour nous les professionnelles.
Nous ne gagnerons pas plus (en terme financiers) en gardant les enfants plus grands et en faisant office de "professeurs d'école" pour ces grands enfants, alors que cela augmente le volume de notre travail et donc la fatigue etc etc.

L'important est que vous soyez informés sur ce que nous pensons de ce changement dans les crèches et les écoles concernant l'inscription des enfants de moins de 3 ans. Donc vous pourrez en parler aussi en ayant plus d'éléments du côté crèche.

Tuty

l'école fait de la résistance

article très intéressant du monde publié le 20 mars (cliquez sur le titre)

lettre des enseignants grévistes du 19 mars

Chers parents,
Nous sommes attachés à faire réussir tous les élèves qui nous sont confiés. Nous avions, dès la rentrée des classes, attiré votre attention sur des décisions qui mettent à mal cet objectif.

Les parents d'élèves démontrent régulièrement avec les enseignants leur attachement à une école de la réussite. Vous nous avez soutenus lors de la journée de grève du 29 janvier dernier, massivement suivie par les enseignants.

Alors qu'un sondage récent fait état que 7 français sur 10 pensent qu'il faudrait augmenter le nombre d'enseignants, le gouvernement persiste dans le mépris et maintient la suppression de 13 500 postes à la rentrée prochaine dont 6 000 professeurs d'école alors que 16 400 élèves supplémentaires sont attendus. Les opérations de carte scolaire dans les départements confirment la nécessité d'un tout autre budget.

Malgré certaines inflexions (RASED, changement de ton sur la maternelle,...) les mesures et les décisions gouvernementales tournent le dos à l’école de la réussite de tous et constituent un véritable démantèlement du service public d'éducation.

Nous exigeons un autre budget qui permette de faire face à la hausse des effectifs, au maintien des réseaux d’aides (RASED), à la reconnaissance du rôle essentiel de l'école maternelle, à une prise en charge digne de ce nom pour les élèves en situation de handicap. Nous exigeons respect et dignité pour l'école publique, les élèves et les enseignants !

La crise que nous traversons ne doit pas conduire à réduire l’investissement en matière éducative, ni à sacrifier l’emploi dans le privé comme dans le public, ni à creuser les inégalités en terme de rémunération. Bien au contraire !
C'est la raison pour laquelle nous serons en grève le jeudi 19 mars.

Nous comptons sur votre compréhension et votre soutien pour défendre et construire ensemble l'école dont nos enfants ont besoin.
Source AFP
Une assemblée générale nationale des collectifs de parents et de salariés de l'Education nationale, réunie samedi 14 mars à Montpellier,
a appelé à une nouvelle journée d'action le 2 avril, "de la maternelle à l'université", pour s'opposer aux réformes dans l'Education.L'AG a souhaité par ailleurs que le personnel de l'Education nationale participe massivement à la journée d'action du 19 mars, date de la deuxième journée interprofessionnelle de grèves et de manifestations, a dit à l'AFP une des porte-parole, Véronique Billet.

L'AG a appelé aussi à ce que "toutes les opportunités" soient saisies "pour reconduire la grève après le 19 mars" dans l'Education nationale.
Environ 100 personnes - parents, professeurs des écoles, de collèges ou de lycées, personnels des écoles - représentant les collectifs d'une trentaine de départements, ont participé à l'AG montpelliéraine, la troisième après celles de Lyon et Paris.

Continuant de refuser notamment la suppression de 13.500 postes en 2009, celle des Rased et des IUFM, le fichage systématique des élèves ou la mise en place de structures privées et payantes pour les enfants de 2 ans, les collectifs proposent que la nouvelle journée d'action soit centrée sur deux thémes: "le refus de la précarisation dans l'Education nationale et la résistance contre les lois Darcos", selon la porte-parole.

Enfin, l'AG a condamné "les nombreuses formes de répression" visant des personnes en lutte contre les réformes dans l'Education, notamment "l'intrusion des forces de l'ordre dans les établissements, les retenues sur salaires et les menaces à l'encontre des personnes qui désobéissent".

Notre Rased : 1 poste supprimé!

La nouvelle est tombée : malgré la forte mobilisation de ces derniers mois, le Rased de St Jean de Vedas se voit amputé d'un poste! Ainsi, sur les 4 personnes qui s'occupaient des 13 écoles du réseau (à St Jean de Vedas, Fabrègues, Lavérune, Saussan), il n'en reste plus que 3!
Notre Rased était déjà en sous-effectifs et ne parvenait qu'avec beaucoup d'efforts et de dévouement à satisfaire les demandes pour s'occuper des enfants qui en ont besoin. Que faire désormais avec uniquement 3 postes? Un certain nombre d'enfants, nécessairement, ne pourra plus se faire aider l'an prochain!
L'Hérault : département à part!
Nous sommes stupéfaits d'apprendre que l'Hérault subit une très forte suppression de ses postes de Rased par rapport aux autres départements (en moyenne, suppression de 20 postes. Dans l'Hérault : 40!! le double!). Cette injuste décision est entérinée de façon incompréhensible par l'inspecteur M. Guiot : pourquoi ne protège-t-il pas les besoins de notre école publique dans notre département?
apéro des écoles de Saint Jean de Védas, du 5 février, compte rendu

les actions menées

évaluation CM 2

Louise Michel, tout s'est passé dans les normes.
Escholiers, les évaluations ont eu lieu uniquement sur les items travaillés en classe. Les classes ont été occupées par les parents pendant toute la durée des évaluations pour savoir comment cela se passait. Ils ont demandé que les résultats ne soient pas remontés (25 lettres). Mardi 27 janvier, les enseignants de CM 2 ont réunis les parents qui sont repartis avec les évaluations de leur enfant (30 carnets sur 42 élèves).
René Cassin, les évaluations ont eu lieu sur tous les items. Pas d'occupation de classe. 12 lettres de refus des parents, 9 carnets subtilisés sur 28.

blocage de l'aide personnalisée

Blocage de l'aide sur l'école René Cassin depuis la rentrée de janvier. Très peu de parents sont au courant du fait que les enseignants ne font plus l'aide personnalisée mais préfèrent tavailler sur un autre projet avec la totalité de la classe par 1/4 de groupe.

prochaines actions envisagées
  • "Café école" tournant sur les 3 écoles de Saint Jean, tous les vendredis soirs à la sortie de l'école. Le principe, c'est de faire tourner l'équipe du collectif sur chaque école dans le but d'informer les parents autour d'un café ou thé. Il est possible de mettre des papiers dans les catables des enfants pour avertir les parents de ce "café école".
  • Tracts pour informer les parents de la crèche de Saint Jean.
  • Tracts sur le marché du samedi matin
  • Action à l'inspection de Gignac