pour tous les parents qui veulent s'informer et agir.................. collectifsaintjean@free.fr
pas de tri en maternelle !!!
Pas encore 6 ans, mais déjà marqués comme « à Risque », voire « à Haut Risque» ! C’est ce qui guette les enfants de cinq ans qui n’obtiendront pas « le score » fixé par le dispositif national d’évaluation en maternelle que l’Education nationale s’apprête à imposer dans toutes les écoles.
En novembre, les élèves de grande section seront testés par leur enseignant via un protocole relevant d’ordinaire des médecins scolaires. Des informations confidentielles deviendront ainsi des éléments du dossier scolaire.
Ensuite, on annoncera aux parents que leur enfant appartient à une catégorie « à risque » ou à « haut risque » et qu’il devra suivre une succession de séances d’entraînement pré-formatées. Pas de réponse individualisée, pas de recours aux aides spécialisées, le protocole unique du ministère est sensé tout résoudre !
Enfin, en mai et juin, plusieurs épreuves collectives et individuelles d’évaluation seront conduites pour mesurer les performances de chaque élève à travers une kyrielle d’exercices imposés dans un cadre inhabituel et stressant.
Ainsi, des enfants de cinq ou six ans seront déclarés en échec alors qu’à cet âge, quelques mois de plus ou de moins engendrent des différences de maturité importantes. Les enseignant(e)s de maternelle et surtout ceux du RASED savent très bien identifier, dans le cadre habituel des activités en classe, les enfants qui ont besoin d’accompagnement particulier. C’est leur métier. Ils n’ont nul besoin d’un dispositif inadapté et pernicieux.
En novembre, les élèves de grande section seront testés par leur enseignant via un protocole relevant d’ordinaire des médecins scolaires. Des informations confidentielles deviendront ainsi des éléments du dossier scolaire.
Ensuite, on annoncera aux parents que leur enfant appartient à une catégorie « à risque » ou à « haut risque » et qu’il devra suivre une succession de séances d’entraînement pré-formatées. Pas de réponse individualisée, pas de recours aux aides spécialisées, le protocole unique du ministère est sensé tout résoudre !
Enfin, en mai et juin, plusieurs épreuves collectives et individuelles d’évaluation seront conduites pour mesurer les performances de chaque élève à travers une kyrielle d’exercices imposés dans un cadre inhabituel et stressant.
Ainsi, des enfants de cinq ou six ans seront déclarés en échec alors qu’à cet âge, quelques mois de plus ou de moins engendrent des différences de maturité importantes. Les enseignant(e)s de maternelle et surtout ceux du RASED savent très bien identifier, dans le cadre habituel des activités en classe, les enfants qui ont besoin d’accompagnement particulier. C’est leur métier. Ils n’ont nul besoin d’un dispositif inadapté et pernicieux.
spéciale investigation sur canal+ le 26 septembre à 22 h 35
Fonctionnaires, taisez-vous !
Bastien Cazals, directeur d'école maternelle, s'est vu retirer deux mois de salaire pour avoir refusé d'appliquer certaines réformes lancées en 2008 et en avoir parlé dans la presse.
Vincent Desportes, général de division, a été «réprimandé» pour avoir émis des réserves sur l'engagement français en Afghanistan dans une tribune publiée dans le quotidien Le Monde.
Jean-Hugues Matelly, officier de gendarmerie, a été radié à vie après avoir critiqué le rapprochement police-gendarmerie. A l'étranger, les fonctionnaires ne sont pas soumis à une telle pression. En Belgique, aux Pays-Bas et dans les pays scandinaves, les militaires peuvent manifester ou faire grève.
Aux Etats-Unis, la justice protège les fonctionnaires qui brisent la loi du silence pour servir l'intérêt public. Mais en France, le pouvoir veille à étouffer toute protestation.
A voir sur Canal +, le 26 septembre à 22h45
Bastien Cazals, directeur d'école maternelle, s'est vu retirer deux mois de salaire pour avoir refusé d'appliquer certaines réformes lancées en 2008 et en avoir parlé dans la presse.
Vincent Desportes, général de division, a été «réprimandé» pour avoir émis des réserves sur l'engagement français en Afghanistan dans une tribune publiée dans le quotidien Le Monde.
Jean-Hugues Matelly, officier de gendarmerie, a été radié à vie après avoir critiqué le rapprochement police-gendarmerie. A l'étranger, les fonctionnaires ne sont pas soumis à une telle pression. En Belgique, aux Pays-Bas et dans les pays scandinaves, les militaires peuvent manifester ou faire grève.
Aux Etats-Unis, la justice protège les fonctionnaires qui brisent la loi du silence pour servir l'intérêt public. Mais en France, le pouvoir veille à étouffer toute protestation.
A voir sur Canal +, le 26 septembre à 22h45
Bastien Cazals redeviendra, peut-être, directeur de l'école maternelle Louise Michel
Jeudi 22 septembre, les avocats de Bastien Cazals ont reçu les jugements rendus par le Tribunal administratif de Montpellier sur les 6 recours déposés contre le Rectorat. Conformément aux conclusions du rapport public présentées lors de l'audience du 7 septembre, le juge conclut à :
- l'annulation de la décision infligeant un blâme (juillet 2009)
- l'annulation de décision de retrait de fonction de directeur (août 2009)
- le rejet des 2 recours contre les retraits de salaire (de décembre 2008 et mai 2009)
- le rejet des 2 recours relatifs au refus de promotion (décembre 2009)
Satisfait sur la moitié des sujets contestés (les décisions sont annulées car insuffisamment motivées), Bastien Cazals doit maintenant attendre la décision administrative lui restituant effectivement la direction de l'école maternelle Louise Michel à St Jean de Védas... Mais il n'attendra pas la fin du délai légal de deux mois pour faire appel des dossiers rejetés !
Des profs posent nus contre le dépouillement de l'école...
cliquer sur le titre
Tous les moyens sont bons pour se faire entendre. Le gouvernement est sourd, serait-il aussi aveugle ??? Le 27 septembre, il y aura du monde dans la rue même si les chiffres du ministère ne seront pas en accord avec ceux des syndicats. Une nouvelle journée de grève, une de plus...où des milliers d'enseignants vont perdre une journée de salaire pour revendiquer un meilleur avenir pour nos enfants. Il n'y aura pas de revendications salariales qui pourtant seraient justifiées. Non, les enseignants vont perdre de l'argent pour que TOUS les élèves puissent apprendre dans de bonnes conditions....tout simplement.
Il faut venir voir ce qui se passe au sein de nos classes, de nos écoles, de nos collèges et lycées pour se rendre vraiment compte de l'état actuel de ce qu'est devenu l"Education Nationale".
Signez le manifeste pour que l'école retrouve sa véritable identité
(dans la rubrique SIGNEZ à droite)
Tous les moyens sont bons pour se faire entendre. Le gouvernement est sourd, serait-il aussi aveugle ??? Le 27 septembre, il y aura du monde dans la rue même si les chiffres du ministère ne seront pas en accord avec ceux des syndicats. Une nouvelle journée de grève, une de plus...où des milliers d'enseignants vont perdre une journée de salaire pour revendiquer un meilleur avenir pour nos enfants. Il n'y aura pas de revendications salariales qui pourtant seraient justifiées. Non, les enseignants vont perdre de l'argent pour que TOUS les élèves puissent apprendre dans de bonnes conditions....tout simplement.
Il faut venir voir ce qui se passe au sein de nos classes, de nos écoles, de nos collèges et lycées pour se rendre vraiment compte de l'état actuel de ce qu'est devenu l"Education Nationale".
Signez le manifeste pour que l'école retrouve sa véritable identité
(dans la rubrique SIGNEZ à droite)
dernière chance....mercredi 13 avril 9 h
Après une réunion dans le quartier du Petit Bard (touché par la fermeture de 2 classes spécialisées pour aider les élèves en difficulté), un gros rassemblement est prévu devant l'Inspection Académique mercredi matin à 9 h précise, moment où se tiendra le CDEN. Ce Conseil Départemental de l'Education Nationale ne pourra plus être reporté. Ce sera donc la dernière chance d'obtenir gain de cause puisque ensuite, le mouvement départemental des postes d'enseignants du primaire et de la maternelle ouvrira et les vacances approchent (la mobilisation risque de ralentir...)!!!
Ne baissons pas les bras. Si on ne se bat pas maintenant, on est sûr d'avoir perdu.
Ne baissons pas les bras. Si on ne se bat pas maintenant, on est sûr d'avoir perdu.
CDEN
Vendredi, les membres du CDEN ont boycotté la réunion du CDEN.
Une déclaration commune a été rédigée et l’un des membres s’est rendu au Conseil Départemental de l’Education Nationale pour la lire.
L’accueil de l'Inspecteur d’ Académie a été très tendu ; il a refusé de l'écouter, très mécontent de ce boycott général et surtout venant des élus conseillers généraux et du vice-président du CDEN.
Seule, la PEEP a décidé d’être présente à ce CDEN.
Nous avons lu, devant l’Inspection académique et devant les 1000 personnes présentes et les nombreux journalistes et télés, notre déclaration commune ainsi que celle de chacune de nos organisations.
Ensuite, les élus : DDEN, FCPE, conseillers généraux et municipaux du CDEN, représentants syndicaux siégeant au CDEN, se sont rendus ensemble à une conférence de presse où nous avons expliqué la raison de notre décision.
Une re-convocation du CDEN est fixée pour mercredi 13 avril à 9h.
Les syndicats ont décidé, qu’au cours de cette prochaine réunion, ils liront leur motion et ensuite se tairont pour laisser la parole uniquement à la FCPE, DDEN et aux élus.
La FCPE a décidé de débattre point par point, chaque fermeture de classe, quoi qu’il arrive, et de prendre le temps qu’il faudra pour cela.
Cela a déjà été fait au CTPD, le 5 avril, par les syndicats enseignants, en vain, puisque rien n'a été changé.
Tout comme eux, nous refuserons qu’on ferme à un endroit pour ouvrir à un autre.
Mais nous avons pris la décision commune de faire entendre la parole de tous les parents et des élus qui voulaient s'exprimer.
Il y aura un P.V. où seront notifiées toutes ces interventions, ce qui permettra d'avoir une trace écrite sur chaque situation.
Nous envisageons la possibilité d’un recours au Tribunal Administratif pour non respect des seuils, pour chaque classe où cela sera le cas.
A la sortie du CDEN, nous avons établi un programme d’actions pour continuer à porter nos revendications.
Mardi 12 avril, après la classe, nous demandons aux parents de préparer des banderoles de leur école avec les enseignants.
Les syndicats enseignants demanderont que mardi soir dans le plus d'écoles possible, s'organisent des réunions pour préparer mercredi.
Mercredi 13 avril, nous invitons, tous les parents du 1er et 2d degré à un pique nique géant, place du Peyrou, pour nous rencontrer et échanger.
Les membres du CDEN, les rejoindront afin de leur faire le CR de la réunion qui se sera tenue.
Ensuite une manifestation partira du Peyrou à 14h30, jusqu’à la Préfecture (l’itinéraire sera communiqué).
Une audience sera demandée au Préfet par une délégation du CDEN vers 16h.
Un forum parents/enseignants sera organisé salle Pitot, ou autre salle, mercredi 17h.
Mardi 19 avril, divers appels seront fait pour continuer (nuit des écoles, écoles mortes...)
Cette forte mobilisation ne peut pas rester sans suite, nous nous y refusons.
Il se passe quelque chose dans chaque département de l'académie.
Avant les vacances, nous devons essayer de construire une action académique, afin qu’à la rentrée, nous puissions obtenir un RDV académique avec le Recteur et des membres de chaque CDEN académique.
Le Recteur est le maillon direct avec le Ministère, les élus seront avec nous sur cette cible rectorale.
Le but est de lui demander de faire remonter une demande de rallonge budgétaire au Ministre, d'autant que, à cette heure, chaque département connaît les effets en détail des postes en moins.
Aussi, nos comptons encore une fois sur la mobilisation de tous, pour diffuser et relayer l'information auprès d'un maximum de parents
Marie Paule Cordonnier
Une déclaration commune a été rédigée et l’un des membres s’est rendu au Conseil Départemental de l’Education Nationale pour la lire.
L’accueil de l'Inspecteur d’ Académie a été très tendu ; il a refusé de l'écouter, très mécontent de ce boycott général et surtout venant des élus conseillers généraux et du vice-président du CDEN.
Seule, la PEEP a décidé d’être présente à ce CDEN.
Nous avons lu, devant l’Inspection académique et devant les 1000 personnes présentes et les nombreux journalistes et télés, notre déclaration commune ainsi que celle de chacune de nos organisations.
Ensuite, les élus : DDEN, FCPE, conseillers généraux et municipaux du CDEN, représentants syndicaux siégeant au CDEN, se sont rendus ensemble à une conférence de presse où nous avons expliqué la raison de notre décision.
Une re-convocation du CDEN est fixée pour mercredi 13 avril à 9h.
Les syndicats ont décidé, qu’au cours de cette prochaine réunion, ils liront leur motion et ensuite se tairont pour laisser la parole uniquement à la FCPE, DDEN et aux élus.
La FCPE a décidé de débattre point par point, chaque fermeture de classe, quoi qu’il arrive, et de prendre le temps qu’il faudra pour cela.
Cela a déjà été fait au CTPD, le 5 avril, par les syndicats enseignants, en vain, puisque rien n'a été changé.
Tout comme eux, nous refuserons qu’on ferme à un endroit pour ouvrir à un autre.
Mais nous avons pris la décision commune de faire entendre la parole de tous les parents et des élus qui voulaient s'exprimer.
Il y aura un P.V. où seront notifiées toutes ces interventions, ce qui permettra d'avoir une trace écrite sur chaque situation.
Nous envisageons la possibilité d’un recours au Tribunal Administratif pour non respect des seuils, pour chaque classe où cela sera le cas.
A la sortie du CDEN, nous avons établi un programme d’actions pour continuer à porter nos revendications.
Mardi 12 avril, après la classe, nous demandons aux parents de préparer des banderoles de leur école avec les enseignants.
Les syndicats enseignants demanderont que mardi soir dans le plus d'écoles possible, s'organisent des réunions pour préparer mercredi.
Mercredi 13 avril, nous invitons, tous les parents du 1er et 2d degré à un pique nique géant, place du Peyrou, pour nous rencontrer et échanger.
Les membres du CDEN, les rejoindront afin de leur faire le CR de la réunion qui se sera tenue.
Ensuite une manifestation partira du Peyrou à 14h30, jusqu’à la Préfecture (l’itinéraire sera communiqué).
Une audience sera demandée au Préfet par une délégation du CDEN vers 16h.
Un forum parents/enseignants sera organisé salle Pitot, ou autre salle, mercredi 17h.
Mardi 19 avril, divers appels seront fait pour continuer (nuit des écoles, écoles mortes...)
Cette forte mobilisation ne peut pas rester sans suite, nous nous y refusons.
Il se passe quelque chose dans chaque département de l'académie.
Avant les vacances, nous devons essayer de construire une action académique, afin qu’à la rentrée, nous puissions obtenir un RDV académique avec le Recteur et des membres de chaque CDEN académique.
Le Recteur est le maillon direct avec le Ministère, les élus seront avec nous sur cette cible rectorale.
Le but est de lui demander de faire remonter une demande de rallonge budgétaire au Ministre, d'autant que, à cette heure, chaque département connaît les effets en détail des postes en moins.
Aussi, nos comptons encore une fois sur la mobilisation de tous, pour diffuser et relayer l'information auprès d'un maximum de parents
Marie Paule Cordonnier
fermeture à St Jean, suite...
Samedi matin, 2 avril, à St Jean de Védas, 200 personnes se sont réunies devant l'école les escholiers pour protester contre la fermeture de classe qui devrait intervenir pour la seconde année consécutive.
Les parents d'élèves du groupe scolaire les escholiers mais aussi de Louise Michel, René Cassin, Petit Bard de Montpellier, l'équipe enseignante dans sa totalité, un nombre important de membres du conseil municipal ainsi que le maire étaient présents.
France bleu hérault et midi libre étaient là.
La mobilisation se poursuit avec la participation d'une délégation de parents et d'élus de st Jean à la manifestation devant l'inspection académique à Montpellier le 5 avril à 14h lors de la tenue de la réunion du comité technique paritaire qui examinera les suppressions.
L'équipe enseignante dans sa totalité sera en grève le 8 avril (lors de la tenue de la réunion du comité départementale) et manifestera au côté des parents d'élèves devant l'inspection académique à Montpellier à 14h
Les parents d'élèves du groupe scolaire les escholiers mais aussi de Louise Michel, René Cassin, Petit Bard de Montpellier, l'équipe enseignante dans sa totalité, un nombre important de membres du conseil municipal ainsi que le maire étaient présents.
France bleu hérault et midi libre étaient là.
La mobilisation se poursuit avec la participation d'une délégation de parents et d'élus de st Jean à la manifestation devant l'inspection académique à Montpellier le 5 avril à 14h lors de la tenue de la réunion du comité technique paritaire qui examinera les suppressions.
L'équipe enseignante dans sa totalité sera en grève le 8 avril (lors de la tenue de la réunion du comité départementale) et manifestera au côté des parents d'élèves devant l'inspection académique à Montpellier à 14h
fermeture de classe à Saint Jean de Védas
Madame Cannicioni (Inspectrice de la circonscription de Gignac) a une
nouvelle fois demandé une fermeture de classe en primaire sur St Jean de Védas
....cette fermeture toucherait pour la seconde année consécutive le
groupe scolaire des escholiers....Si l'année dernière les enseignants
et parents d'élèves ne se sont pas mobilisés, cette année la pillule ne
passe pas !!!!
Nous avons été informé le 25 février de cette éventualité, la
commission technique paritaire qui devra statuer se réunira le 5 avril .
Cette nouvelle fermeture impactera les 3 groupes scolaires avec une
nouvelle répartition des effectifs pour équilibrer les classes et
surtout une hausse générale de la moyenne par classe (de 27 élèves par
classe) Sans oublier que le RASED continue de fonctionner avec très peu de moyen....
Venez nombreux samedi 2 avril entre 11 h et 12 h devant l'école des escholiers avec banderoles, les médias seront présents!
nouvelle fois demandé une fermeture de classe en primaire sur St Jean de Védas
....cette fermeture toucherait pour la seconde année consécutive le
groupe scolaire des escholiers....Si l'année dernière les enseignants
et parents d'élèves ne se sont pas mobilisés, cette année la pillule ne
passe pas !!!!
Nous avons été informé le 25 février de cette éventualité, la
commission technique paritaire qui devra statuer se réunira le 5 avril .
Cette nouvelle fermeture impactera les 3 groupes scolaires avec une
nouvelle répartition des effectifs pour équilibrer les classes et
surtout une hausse générale de la moyenne par classe (de 27 élèves par
classe) Sans oublier que le RASED continue de fonctionner avec très peu de moyen....
Venez nombreux samedi 2 avril entre 11 h et 12 h devant l'école des escholiers avec banderoles, les médias seront présents!
les enfants sont l’avenir : ils ont besoin d’éducation…
A la rentrée de septembre 2011, ce sont 16 000 nouvelles suppressions de postes programmées dans l'éducation, dont près de 9 000 pour l’école primaire. Il faut refuser cette logique de restriction, alors que même la Cour des comptes reconnaît que notre école est sous-dotée de 15 % par rapport aux pays comparables. Il faut refuser que les élèves soient toujours plus nombreux dans les classes.
Comme il est vraiment impossible de faire mieux avec moins, pour scolariser quelques 83 000 élèves supplémentaires et rendre des postes, les inspecteurs d’académie vont supprimer des postes d’enseignants dédiés à l’aide aux élèves en difficulté, des postes de «maîtres supplémentaires» qui permettent de faire des petits groupes à certains moments, des postes de remplaçants, des postes permettant la scolarisation en maternelle des moins de trois ans, des possibilités de formation continue et professionnelle pour les enseignants.
Cela se traduira en particulier par : une augmentation des effectifs par classe, la diminution de la prise en charge des élèves en difficulté, la quasi disparition de la scolarisation des enfants de moins de trois ans, dont près d’un tiers fréquentait l’école en 2000.
L’école a besoin d’un nouveau souffle pour améliorer la qualité des enseignements, mieux prendre en compte les élèves en difficulté, améliorer les conditions d’accueil et de vie des élèves…
C’est pour demander un autre budget et d’autres choix éducatifs pour vos enfants que :
le jeudi 10 février, partout en France les enseignants de la maternelle au lycée seront en grève ;
le 19 mars parents et enseignants manifesteront ensemble.
A la rentrée de septembre 2011, ce sont 16 000 nouvelles suppressions de postes programmées dans l'éducation, dont près de 9 000 pour l’école primaire. Il faut refuser cette logique de restriction, alors que même la Cour des comptes reconnaît que notre école est sous-dotée de 15 % par rapport aux pays comparables. Il faut refuser que les élèves soient toujours plus nombreux dans les classes.
Comme il est vraiment impossible de faire mieux avec moins, pour scolariser quelques 83 000 élèves supplémentaires et rendre des postes, les inspecteurs d’académie vont supprimer des postes d’enseignants dédiés à l’aide aux élèves en difficulté, des postes de «maîtres supplémentaires» qui permettent de faire des petits groupes à certains moments, des postes de remplaçants, des postes permettant la scolarisation en maternelle des moins de trois ans, des possibilités de formation continue et professionnelle pour les enseignants.
Cela se traduira en particulier par : une augmentation des effectifs par classe, la diminution de la prise en charge des élèves en difficulté, la quasi disparition de la scolarisation des enfants de moins de trois ans, dont près d’un tiers fréquentait l’école en 2000.
L’école a besoin d’un nouveau souffle pour améliorer la qualité des enseignements, mieux prendre en compte les élèves en difficulté, améliorer les conditions d’accueil et de vie des élèves…
C’est pour demander un autre budget et d’autres choix éducatifs pour vos enfants que :
le jeudi 10 février, partout en France les enseignants de la maternelle au lycée seront en grève ;
le 19 mars parents et enseignants manifesteront ensemble.
évaluations nationales CM 2...coucou les revoilà !
La semaine prochaine, nos chérubins sont en examen ! En milieu d'année scolaire, pourquoi faire ? Voici deux liens pour se faire une idée sur cette chose obscure ! Au fait, ce qu'on ne dit nulle part, c'est que les enseignants de CM 2 percevront 400 € net pour faire passer ces évaluations, histoire d'acheter leur silence et leur asservissement !
http://www.rue89.com/2010/01/19/les-evaluations-nationales-du-cm2-ont-elles-un-sens-134417
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2011/01/070111hazan.aspx
http://www.rue89.com/2010/01/19/les-evaluations-nationales-du-cm2-ont-elles-un-sens-134417
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2011/01/070111hazan.aspx
bonne année, c'est la rentrée !!!
Rentrée 2011
16 000 suppressions de poste au budget 2011,
«Nous y sommes allés à la tronçonneuse » (Mme Lagarde, ministre de l'économie)
Le Projet de Loi de Finance 2011 actuellement examiné par le parlement supprime 30 000 postes de fonctionnaires dont 16 000 dans l’Education nationale, en application du principe de non remplacement d’un fonctionnaire d’Etat sur deux partant à la retraite.
D’ici à 2012 400 000 postes doivent disparaître dans toute la Fonction publique !
Pour respecter son plan de réduction de 100 milliards d’euros des déficits publics pour satisfaire les «marchés financiers », le gouvernement accélère la mise en œuvre de la RGPP contre les services publics.
Aucune catégorie n’est épargnée
Fermeture de sections dans les LP, fermeture de milliers de classes et de collèges entiers comme dans les Hauts de Seine et la Loire Atlantique, de CMPP entiers comme dans le Gard, suppression de filières dans les lycées, fusion d’écoles, disparition des remplaçants et des RASED, fermeture de CIO en Côte d’or, Seine maritime, Tarn, Nord, Saône et Loire…, menace sur 3 des 9 sites du CNED…
A Lille le recteur engage une réflexion sur le devenir de 25 établissements du second degré…
La mutualisation des services dans les Inspections Académiques de l’académie de Nantes entraîne la fermeture de 10 postes.
Le budget s’inscrit dans un contexte de mise en œuvre des contre-réformes ministérielles
La mastérisation a permis la suppression de 18 202 emplois de stagiaires IUFM, l’aide personnalisée a servi de prétexte à la disparition de 3000 postes de RASED, la loi du 11 février 2005 sur le handicap remet en cause les postes et structures spécialisés.
Ce désengagement massif de l’Etat dans l’Education nationale intervient au moment où la députée Mme
Tabarot propose que l’organisation de la semaine et de l’année scolaire soit transférée aux collectivités pour le 1er degré et à chaque établissement dans le 2nd degré.
Toutes les « réformes », toutes les mesures ministérielles ont pour objectif d’organiser l’autonomie accrue des établissements (rapport Reiss, dispositif CLAIR, rythmes scolaires…) et le transfert des personnels vers les collectivités pour supprimer massivement des postes de fonctionnaires d’Etat.
Conséquences
Des classes surchargées, des heures d’enseignement supprimées, un encadrement déficient.
16 000 suppressions de poste au budget 2011,
«Nous y sommes allés à la tronçonneuse » (Mme Lagarde, ministre de l'économie)
Le Projet de Loi de Finance 2011 actuellement examiné par le parlement supprime 30 000 postes de fonctionnaires dont 16 000 dans l’Education nationale, en application du principe de non remplacement d’un fonctionnaire d’Etat sur deux partant à la retraite.
D’ici à 2012 400 000 postes doivent disparaître dans toute la Fonction publique !
Pour respecter son plan de réduction de 100 milliards d’euros des déficits publics pour satisfaire les «marchés financiers », le gouvernement accélère la mise en œuvre de la RGPP contre les services publics.
Aucune catégorie n’est épargnée
Fermeture de sections dans les LP, fermeture de milliers de classes et de collèges entiers comme dans les Hauts de Seine et la Loire Atlantique, de CMPP entiers comme dans le Gard, suppression de filières dans les lycées, fusion d’écoles, disparition des remplaçants et des RASED, fermeture de CIO en Côte d’or, Seine maritime, Tarn, Nord, Saône et Loire…, menace sur 3 des 9 sites du CNED…
A Lille le recteur engage une réflexion sur le devenir de 25 établissements du second degré…
La mutualisation des services dans les Inspections Académiques de l’académie de Nantes entraîne la fermeture de 10 postes.
Le budget s’inscrit dans un contexte de mise en œuvre des contre-réformes ministérielles
La mastérisation a permis la suppression de 18 202 emplois de stagiaires IUFM, l’aide personnalisée a servi de prétexte à la disparition de 3000 postes de RASED, la loi du 11 février 2005 sur le handicap remet en cause les postes et structures spécialisés.
Ce désengagement massif de l’Etat dans l’Education nationale intervient au moment où la députée Mme
Tabarot propose que l’organisation de la semaine et de l’année scolaire soit transférée aux collectivités pour le 1er degré et à chaque établissement dans le 2nd degré.
Toutes les « réformes », toutes les mesures ministérielles ont pour objectif d’organiser l’autonomie accrue des établissements (rapport Reiss, dispositif CLAIR, rythmes scolaires…) et le transfert des personnels vers les collectivités pour supprimer massivement des postes de fonctionnaires d’Etat.
Conséquences
Des classes surchargées, des heures d’enseignement supprimées, un encadrement déficient.
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